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Lauriana expliqua que, dans l'habitude de lauriana voyance, le intention n’était d'un côté une évènement nocturne : il s’agissait d’une porte poétique d’autres réalismes intérieures, parfois refoulées. L’atelier débuta par un exercice de décontraction guidée. Lauriana invita chaque individu à fermer les yeux et à adopter sentiment de son malice, imaginant une journée en douceur surfant notre physiologie de la forme du visage aux pieds. Bien que ce soit en plein aube, l’atmosphère, tout en clair-obscur, renforçait l'impression de varier en direction d’un distinction de conscience flottant. Élodie sentit ses muscles se amuser peu à filet. Les fragrances d’encens et de sauge semblaient exhiber cet état de l'harmonie. Après quelques instants, Lauriana encouragea tous les participants à s’allonger, ou du moins à suivre une amplitude luxueux, puis à signaler immédiatement toute illusion ou sentiment qui leur traversait l’esprit. 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Lauriana prit alors la voix pour présenter des possibilités d’interprétation. « Les désirs sont un vitrage délicat de tous nos soucis, mais ils peuvent de plus révéler des messages là d’ailleurs. Il ne peut exister pas d’interprétation personnelle : c’est à chacun d'éprouver ce qui vibre le plus mémorable au fond de lui. » Elle souligna l’importance de continuellement tenir un journal des souhaits pour manifester, vie arrière ajour, tous les détails qui surgissaient l'obscurité. La technique s’apparentait à une petite discipline répétitive : se faire ressortir et, premier plan même de mettre le pied hors du lit, consigner le texte du abruptement dans un carnet dédié. Alors que l’atelier se poursuivait, Anaïs proposa à chacun de étirer une carte dans un sport précisément fait pour l’interprétation onirique. Il ne s’agissait pas du tarot conventionnel, mais d’un prophétie focalisé sur la visionnaire des souhaits. 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